Conclusion

Le gaz de schiste est un gaz non conventionnel, ce qui impose pour le moment une unique méthode d’extraction : la fracturation hydraulique couplée aux forages horizontaux et verticaux. Son exploitation place les pays face à des choix car elle présente des aspects contradictoires. Les aspects négatifs étant d’ordre moral et environnemental. Les aspects positifs étant purement économiques et stratégiques.

points positifs :

-permet l'autonomie énergétique

-création d'emplois

-création de richesses

points négatifs :

-rentabilité aléatoire

-importants coûts liés au forage

-importante quantités d'eau nécessaire

-polution des nappes phréatiques

-destruction des paysages

-risques sismiques

réserves parfois situé sous des zones urbaine

Afin de voir l’impact de l’extraction de ce gaz sur la déstructuration du paysages nous avons décidés de faire un « avant-après » afin de voir l’évolution du paysage . Comme ici au Canada dans la région de l’alberta ou l’on peut voir une importante dégradation du lieu d’extraction voir les photos ci-dessous :

A l’heure où les énergies renouvelables commencent à être mises en avant, le débat sur le gaz de schiste est lancé. Malgré certains avantages, cette solution énergétique est confrontée à de multiples contestations. Par le biais de ce blog nous avons pu constater que l’extraction du gaz de schiste dans les Cévennes pourrait avoir un impact positif et négatif. A vous lecteur de vous forger un avis sur la question.

Économiquement il est encore trop tôt pour savoir a quel point l’exploitation du gaz de schiste sera favorable à la France. Il est cependant certain que l’exploitation permettra à la France de devenir moins dépendante des pays producteurs de pétrole en s’assurant une ressource interne au pays, mais à quel prix ?

A l’heure actuelle, de nombreuses questions demeurent et devront trouver des réponses : Faut-il exploiter les gaz de schiste ? Et si oui, comment ? Selon quelles conditions ? Par qui ? … Aujourd’hui les collectifs Français anti gaz de schiste s’allient avec les collectifs d’autres pays (Canada par exemple) afin que ce cette cause soit répandue aux quatre coins du globe.